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SHORAWEZE, a Rwandan crowd farming platform

Shoraweze is a Rwandan crowd farming platform that allows members of the Rwandan diaspora around the world to sponsor a farm.

They have selected the best sponsorship opportunities in agribusiness for farmers and sponsors and use that capital to support small scale farmers.

With the sponsor’s capital and Shoraweze’s expertise, small scale farmers are able to generate higher yields from their farming activities.

The founding team behind SHORAWEZE, says: “Premium crops like chia seeds will guaranty reasonable revenues on a long term basis to local small scale farmers. We are committed to provide training and capacity building to the communities and improve the image of agriculture in general.”

The SHORAWEZE platform connects small scale farmers with investors allowing them to access affordable capital.

According to the founders:” With organic chia seeds, the sponsor makes a pledge of 1800$ per 1 hectare of land so we can farm for him. We sort, clean and sell the produce after harvest.  Once it’s sold we give them a % of their initial sponsorship amount plus the upfront they paid at the beginning of the season. A farming cycle of chia is 3 months and the payout is every 4 months, so 2-3 times a year in total depending on the availability of the land. “

The innovative business model involves diaspora communities willing to support agribusiness in Rwanda.

Who is eligible?

SHORAWEZE.COM is open to any farmer looking into scaling up his production and learning new Agri-tech solutions.

Diaspora organizations and Rwandan leaving abroad are invited to enter the program through the organization’s website or email shoraweze@gmail.com or call +250 789 976 500.

ADDITIONAL INFORMATION
For more details about the competition, visit https://shoraweze.com/

FOLLOW THEM:
https://www.facebook.com/shorawezerwanda
https://www.linkedin.com/company/shoraweze-crowdfarming-in-rwanda/

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CULTURE & ACTU

Centre Mémorial GISIMBA ou le parcours d’une famille combattante

Par Jabo Jean Marie

Nous vous proposons un rendez-vous en trois parties qui couvrent la fabuleuse histoire du Mémorial Gisimba. Fondé par une famille bienveillante et transmis sur trois générations, le centre a su se reinventer, d’orphelinat à refuge, de refuge en dortoir, de dortoir en établissement scolaire. Aujourd’hui il joue un role pivot dans la vie des habitants du quartier populaire qui l’entoure: Nyamirambo. Le journaliste de renom, Jabo Jean Marie, parcour ces décennies passées à donner de l’espoir et à soigner les âmes.

L’histoire du Centre Memorial Gisimba commence timidement et modestement avec les grands parents vers les années 1952 ; GISIMBA Melchior et son épouse dédient leur vie aux orphelins. Ils ne savaient pas que leur légende allait se transmettre de génération en génération.

En 1979, GISIMBA  Chrysologue rentre de la RD Congo  (Ex Zaïre) où il s’était exilés avec sa famille et reçoit dans des conditions très modestes des enfants orphelins sous son toit ; en quelques années seulement  la roue tourne il nourrit et héberge à part son épouse et leurs trois fils, neufs enfants orphelins.

En famille nombreuse, ils essaient d’avancer chaque jour  tant bien que mal en comptant sur la providence de Dieu.

En 1981 quelques organisations commencent à aider de façon  non régulière notamment  Caritas et CRS (Catholic Relief Service) ou Monsieur Gisimba Chrysologue travaillait.

L’Année suivante est pleine d’espoir pour la famille, l’Etat leur donne une parcelle pour construire un centre et c’est un grand soulagement !

Le tout petit premier bâtiment voit le jour en 1984 mais hélas deux ans plus tard les parents meurent et ne verront jamais la personnalité juridique de l’association octroyée  en 1987.

De 1987 à 1993, le centre s’agrandit et commence à prendre forme d’une petite institution avec 65 orphelins et un encadrement plus ou moins organisé.

En  1994, le petit centre, non clôturé et sans aucune protection spéciale a pu sauver 398 personnes en danger au cours du Génocide des Tutsi dont des enfants, des adolescents et des adultes.

Gisimba Damas, qui venait de se marier et qui avait un bébé de quelques mois au grand risque de mourir  en premier; n’a rien ménagé pour sauver toutes ces personnes.

Le flambeau de la bravoure, de l’humilité et de l’amour de l’autre porté par Gisimba Melchior transmis à Gisimba Chrysologue toujours fraternellement soulevé est entre les mains de Gisimba Damas ,période sombre soit elle ,le petit centre  parvint à sauver beaucoup de personnes .

Nous sommes dans les années1996-1997 , parmi  ceux qui ont fui le pays après le génocide contre les Tutsi de 1994 , des milliers rentrent en masse en provenance surtout de la RD Congo , beaucoup d’enfants avaient perdus leurs parents de vue dans la fuite de 1994 pour différentes raisons , dans ces moments troubles le centre  avec à sa tête Gisimba Damas a fait montre d’un esprit humanitaire de résilience en accueillant ces enfants en détresse et qui étaient considérés à cette époque comme les enfants des génocidaires mais Gisimba Damas créa  au sein de ce centre un esprit de cohabitation , germe de réconciliation jusqu’aujourd’hui  entre ces  derniers et ceux trouvés sur place majoritairement victimes et rescapés du génocide.

Damas Gisimba interviewé par Jabo Jean Marie au Mémorial Gisimba, avril 2021.

En 2004, Damas Gisima est lauréat du prix Prix Paul Gruninger (Suisse), il reçoit la Médaille d’Honneur du président de la République Rwandaise pour la bravoure contre le Génocide en 2007 et reçois la distinction honorifique de Gardien de l’Unité Nationale (Umulinzi w’Igihango ku rwego rw’igihugu) en 2014.

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Le Français au Rwanda : une opportunité d’ouverture sur le monde

Au Rwanda, les jeunes francophones ont été encouragés à profiter des opportunités de la langue française pour ouvrir les frontières et collaborer avec leurs pairs qui l’utilisent en Afrique et en Europe.

Cela a été mis en évidence lors de trois débats organisés par l’hôtel Cleo Kivu pour revoir l’enseignement du Français au Rwanda et ce qui fait pour l’améliorer a travers la culture et à la technologie.

“A Canal Plus, nous avons un bouquet de plus de 190 chaînes, toutes en français, y compris les films d’actualités »  a déclaré Sophie Tchatchoua, PDG de Canal Plus Rwanda,.

“Cela permettra aux téléspectateurs de continuer à améliorer leurs compétences linguistiques ; nous voulons qu’ils parlent le français comme ils parlent le kinyarwanda et qu’ils puissent bénéficier de la présence  de partenaires locaux comme Canal Olympia dans le théâtre et le cinéma.”

L’actrice et directrice du Ishyo Arts Center, Carole Karemera, a quand a elle, déclaré que l’apprentissage du français par l’art avait aidé les enfants ; elle conseille les  artistes à faire plus d’efforts de créativité grâce à la technologie.

«Même les enfants avaient des difficultés, mais progressivement, cela est venu à travers des livres comme Bakame, des poèmes et des films qui enseignent… J’encourage les artistes à s’unir et a embrasser la technologie moderne. Il y a des projets que nous avons lancés, comme KESHO, qui les aideront à produire une variété d’œuvres d’art en français”.

La directrice de Led Solutions & Green Energy, Sekamana Thérèse, conseil les jeunes à s’ouvrir sur le monde francophones d’Afrique pour voir les opportunités qui s’offrent à eux.

“Maintenir la culture française, c ;’est ce dont les jeunes ont besoin », a-t-elle déclaré. “Avec le lancement du Marché commun africain-Zone de Libre Echange Continentale Africaine (ZLECA) ndlr, il est nécessaire de disposer du même passeport africain, les jeunes ne doivent pas aller loin pour trouver des opportunités, ils peuvent même commencer par leur voisin direct tel la RD Congo”.

Pour Rica Rwigamba, directrice de la Fondation Mastercard au Rwanda : « Les portes sont ouvertes partout dans le monde et encouragent les jeunes à apprendre des autres pays. Soyez curieux, et saisissez les opportunités croissantes sans oublier d’utiliser les technologies, et parlez couramment le français qui est parlé par plus de 300 millions de personnes”, a-t-elle déclaré.

«Nous avons l’opportunité d’ouvrir un marché public et de mettre les produits à la disposition des jeunes. Il y a des marchés dans de nombreux pays que personne ne voit dans leur propre pays, la technologie les a résolus, vous avez vu que même au moment de la pandémie de Covid-19, le travail est toujours en cours. Jeunes, ouvrez vos portes et vous aurez l’opportunité d’étudier gratuitement dans les universités dans le monde entier et vous aurez l’opportunité d’interagir avec vos pairs.» a ajouté Rica Rwigamba

Les débats ont réuni neuf femmes’ leaders de diverses institutions: Rica Rwigamba Mastercard Foundation, Marie Pierre Ngoma APEFE, Thérèse Sekamana Led Solutions & Green Enenregy , Iris Irumva ITM Africa, Nicole Bamukunde Vatel, Lydie Hakizimana AIMS, Dr Carmen Nibigira Tourism Expert, Sophie Tchatchoua Canal Plus Rwanda, Carole Karemera Ishyo Art Center et Aime Umutoni Canal Olympia

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Inclusion du français dans les langues officielles de la Communauté de l’Afrique de l’Est : une décision à saluer à l’occasion de la Journée internationale de la francophonie.

Le Ministre rwandais des affaires étrangères, Dr. Vincent Biruta, a salué la décision du 21e Sommet ordinaire des chefs d’État de la Communauté de l’Afrique de l’Est de faire du français l’une de ses langues officielles.

Biruta a fait le constat à l’occasion de la Journée internationale de la francophonie, célébrée le 20 mars, 2021, sous le thème «Femmes francophones, femmes résilientes».

“Cela contribuera à accélérer l’intégration régionale”, a-t-il déclaré à travers un message sur Twitter en exprimant son approbation de la décision.

 Le 21e Sommet ordinaire des chefs d’État de la Communauté de l’Afrique de l’Est a notamment examiné un rapport sur l’état de la mise en œuvre de sa directive pour entreprendre une étude sur les modalités d’inclusion du français comme langue de la Communauté, en plus de l’anglais et du kiswahili.

Le sommet, qui s’est tenu par vidéoconférence le 27 février 2021, a adopté le français comme l’une des langues officielles de la communauté avec l’anglais et le kiswahili et a demandé au conseil d’accélérer les modalités de mise en œuvre de la directive.

En outre, le sommet a examiné une demande d’adhésion de la RD Congo à la communauté d’Afrique de l’Est et a demandé au conseil d’entreprendre rapidement une mission de vérification.

La communauté abrite 177 millions de citoyens, dont plus de 22% sont de la population urbaine.

Jusqu’à présent, les pays connus pour avoir des citoyens qui parlent largement le français dans la région sont le Burundi, le Rwanda et la RD Congo, membre potentiel de la CAE.

On estime à 300 millions le nombre de francophones dans les 88 États et gouvernements de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), répartis sur les cinq continents.

La Francophonie est un dispositif institutionnel dédié à la promotion du français et à la mise en œuvre de la coopération politique, éducative, économique et culturelle au sein des 88 États et gouvernements de l’OIF.

Par ailleurs, Vincent Biruta a réitéré «le plein soutien du Rwanda à l’OIF dans sa mission d’incarner une francophonie d’action, portée par le numérique, l’égalité du genre et la jeunesse».

En outre, le Parlement rwandais a organisé un événement virtuel pour célébrer la Journée internationale de la Francophonie.

La présidente de la Chambre des députés, Donatille Mukabalisa, a déclaré que le parlement s’est associé au reste des pays du monde francophone pour célébrer les valeurs qui les unissent en tant que communauté.

Elle a souligné que parmi les valeurs de la Francophonie, il y a la diversité culturelle et linguistique.

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Le Rwanda accueille “Connecting Day” après le Nigeria et le Sénégal

Alors que la France continue d’investir au Rwanda, les acteurs du secteur privé, en particulier la communauté francophone, ont continué à soutenir cet investissement soit en promouvant les avantages socio-économiques ou les échanges culturels et la promotion de la coopération commerciale dans son ensemble.

La pandémie due au COVID 19 a freinée les initiatives culturelles qui aurait permit au Rwanda d’être l’hôte d’événements internationaux, en ligne avec sa stratégie MICE (Meeting, Incentive, Conference and Event)  et il aurait pu y avoir un certain nombre de concerts, exhibitions et autres expositions pour la promotion des arts vivants francophones.

Ce n’est que par l’utilisation de la technologie que le secteur privé francophone a continué d’essayer de discuter des projets qui peuvent améliorer ouvrir les horizons de la communauté francophone en partageant des idées et en les réalisant sur divers aspects tels que le marchés du travail, les investissements, les opportunités émergentes, la coopération, entre autres.

Dans ce contexte, le jeudi 18 mars 2021, le Rwanda sera honoré d’accueillir un événement d’envergure organisé pas Continental Working, agence basée en France appelé «Connecting-Day Rwanda» qui sera entièrement digitale.

Cet événement sera l’occasion de mettre en avant le Rwanda et la Région Afrique de l’Est comme une attraction pour les investissements venants de la zone UE et dans ce cas la diaspora africaine.

En fait, le Rwanda est honoré en tant que pays hôte virtuel et sa capacité à accueillir des événements internationaux conformément à la stratégie MICE malgré les contraintes sanitaires et logistiques liées a la pandémie.

Les organisateurs, issues de la diaspora africaine en France, représentent le résultat tangible de tous les efforts consentis par les gouvernements français et rwandais pour harmoniser les relations en commençant par les échanges commerciaux.

La rencontre permettra de mettre sur le même plateau : Eric Kabera; cinéaste rwandais; Nadia Keza CEO de l’agence ITA (Tourisme et Voyage); Victor Nkindi professionnel des media et CEO de Hooza Media; Clément Uwajeneza CEO de Benefactor’s, société d’affacturage; Sylvere Boussamba Fondateur de Start X 241 et Business Angel ; Dr Alice Kabeja R&D en Agriculture ; Maitre Thierry Njifen, avocat aux barreaux du Cameroun et du Rwanda ; Serge Nyambo Co-organisateur, membre de la Communauté Rwandaise de France et d’autres intervenants, dont la confirmation est attendue.

Depuis le début de l’année, Continental Working, avec son concept de « Connecting Days en Full digital», offre une opportunité distinctive pour les sponsors, exposants virtuels, panélistes et partenaires afin d’élargir leur réseau, identifier les opportunités d’affaires et de disposer des informations à haute valeur ajoutée.

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IRCAD France avec IRCAD Africa cherche l’égalité d’accès à la chirurgie mini-invasive dans les pays à revenu faible et intermédiaire

Les chirurgiens ont déclaré: “Il est temps pour les Africains d’obtenir des services chirurgicaux modernes et rapides, indolores, citant la LAPAROSCOPIE comme celle qui peut mieux fonctionner”.

Cela a été annoncé lors d’un webinaire axé sur l’avancement de la chirurgie mini-invasive en Afrique organisé par l’IRCAD France en partenariat avec l’IRCAD Afrique.

IRCAD Afrique qui a un bureau à Kigali, la capitale du Rwanda est une filiale de l’IRCAD France.

L’IRCAD (Institut de Recherche contre les Cancers de l’Appareil Digestif) a été fondé en 1994 à Strasbourg, France par le Professeur Jacques Marescaux, un chirurgien passionné par la technologie.

 L’IRCAD est depuis devenu le leader mondial de la promotion et de l’enseignement de la chirurgie mini-invasive.

Le webinaire de l’IRCAD organisé le jeudi 11 mars 2021 a réuni différents chirurgiens dont le Prof. J. Marescaux, Président de l’IRCAD France, le Dr K. Kayondo, Président de l’IRCAD Afrique, le Prof. B. Dallemagne qui a 30 ans d’expérience dans la chirurgie invasive, ainsi que les co-directeurs de cours de l’IRCAD Afrique et les directeurs de cours IRCAD France parmi eux sont le Dr F. Byiringiro, le Dr E. Muhawenima, le Dr D. Ntirushwa, le Prof. D. Mutter, le Prof. T. Piechaud et le professeur A.Wattiez.

Lors de l’événement, le Président Paul Kagame du Rwanda a été félicité pour sa contribution à la création de l’IRCAD Afrique et a reconnu qu’être membre de l’IRCAD est une force supplémentaire pour la promotion de l’utilisation de la technologie médicale, en particulier en chirurgie.

Dans sa présentation, le Dr K. Kayondo, Président de l’IRCAD Afrique explique que «au cours de la prochaine décennie, la chirurgie est considérée comme un problème de santé publique important avec une grande disparité entre le Nord et le Sud, entre les pays à revenu élevé et les pays à revenu faible et ceux de revenu intermédiaire.”

“ La chirurgie mini-invasive est donc devenue la norme d’or pour de nombreuses procédures hautement permanentes avec les techniques modernes.” Le Dr K. Kayondo a noté que «malgré les avantages découlant de la chirurgie mini-invasive, comme moins de douleur, moins de temps, entre autres, la MIS (chirurgie mini-invasive) n’est pas encore une pratique courante dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, car la plupart des chirurgiens continuent d’utiliser une technique chirurgicale ouverte.»

«Ainsi, l’introduction du chirurgie mini-invasive dans les pays à revenu faible ou intermédiaire réduira la mortalité et la morbidité associées à la chirurgie et sera particulièrement avantageuse là où il y a souvent un mauvais assainissement, des pratiques de diagnostic limitées, moins de lits d’hôpitaux, une augmentation du taux de traumatismes et ménages à revenu unique. »

S’exprimant lors du webinaire, le professeur A. Wattiez, qui est l’un des gynécologues renommés dans le monde, a déclaré que «la raison pour laquelle l’Afrique devrait avoir des gynécologues avancés est que l’Afrique représente 1,2 milliard de la population mondiale et nous pouvons considérer que la moitié de ceux-ci est femmes qui ont besoin de soins gynécologiques et nous savons que les femmes sont plus exposées aux soins médicaux et chirurgicaux que les hommes et je pense qu’elles méritent vraiment, à mon avis, la LAPAROSCOPIE parce qu’elles font mieux pour elles.

Selon les experts, la laparoscopie est une opération pratiquée dans l’abdomen ou le bassin à l’aide de petites incisions avec l’aide d’une caméra. Le laparoscope facilite le diagnostic ou les interventions thérapeutiques avec quelques petites coupures dans l’abdomen et «utilise cette fois des technologies de pointe».

Il a ajouté que l’Afrique représente près de 17% de la population mondiale et que sa population est trop jeune, il est donc nécessaire de leur donner les soins médicaux qu’ils méritent, car l’Afrique est la grande partie de l’avenir du monde et mérite l’avenir de la chirurgie apportée par l’IRCAD.

«Je suis heureux que l’IRCAD ait ouvert un bureau en Afrique et cela signifie que l’IRCAD et moi, nous aimons l’Afrique.» a déclaré le professeur A. Wattiez.

Dans son témoignage, le professeur T. Piechaud, un urologue spécialisé en urologie robotique et laparoscopique, a insisté sur le fait que «la LAPAROSCOPIE est importante car c’est une forte révolution de la chirurgie invasive à l’approche de la chirurgie mini-invasive».

Il a ajouté que l’IRCAD étant la meilleure école au monde des chirurgiens, doit enseigner et encadrer l’approche mini-invasive.

Le Dr. David Ntirushwa, médecin, obstétricien consultant et gynécologue à Kigali, au Rwanda, a noté que «nous devons passer à la chirurgie mini-invasive parce que nous voulons que nos patients bénéficient de ses avantages tels que: chirurgie qui permet moins de temps dans les salles d’opération, moins de pertes de sang, une récupération plus rapide et un effet anesthésique minimal, etc. »

L’IRCAD Afrique devrait ouvrir officiellement ses portes d’ici la fin de 2021. Des efforts importants sont déployés par le gouvernement du Rwanda en collaboration avec l’IRCAD France pour assurer un grand progrès de la construction malgré la pandémie mondiale actuelle.

IRCAD Africa a hâte de s’associer avec les ministères africains de la santé, les organisations de santé, les associations chirurgicales, les hôpitaux universitaires et les fabricants de dispositifs médicaux, pour aider à promouvoir l’enseignement des dernières techniques de chirurgie guidée par image mini-invasive.

Selon le Dr F. Byiringiro, professeur agrégé de chirurgie et doyen de la faculté de médecine et de pharmacie du collège de médecine et des sciences de la santé au Rwanda, «l’objectif est de former et d’équiper les hôpitaux africains de chirurgiens exceptionnels avec la qualité des services requis.»

«Nous espérons que l’IRCAD Afrique sera le centre d’excellence dans les technologies de chirurgie mini-invasive” ajoute-t-il.

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La société française Groupe Duval s’apprête à construire un bâtiment commercial à Kigali.

Cette semaine, le bureau du président rwandais a annoncé la rencontre de Paul Kagame avec le PDG du Groupe Duval, Eric Duval, et son équipe, pour discuter des projets que la société envisage de lancer au Rwanda.

Le Groupe Duval est une société française fondée en 1996 par Eric Duval et dirigée par Pauline Duval. Elle compte plus de 4 000 employés et au cours des 25 dernières années, Elle a gagné 700 millions de dollars grâce à l’investissement dans les  projets de construction.

Au Rwanda, ses activités sont gérées par Duval Great Lakes Ltd dirigée par Vicky Murabukirwa, Ingénieur de formation.

Le Groupe Duval a investi dans des projets de bâtiments et travaux publics, d’hôtellerie et d’agro alimentaire parmi d’autres.

Parmi les projets de Duval Great Lakes Ltd pour le Rwanda, citons l’un des plus uniques : celui de la construction du Inzovu Mall à Kimihurura à côté du Kigali Convention Center et qui abritera des magasins de renom tels que Zara, Levi’s, Lacoste ou H&M entre autre.

Le bâtiment commercial moderne sera construit de manière à respecter les normes écologiques. Le bâtiment accueillera également la société hôtelière française Odalys City Business Apart Hotel.

Nommé «INZOVU», le bâtiment présente une variété d’activités commerciales, de jeux, de divertissements, de restaurants parmi d’autres services.

On s’attend également à ce qu’il participe a l’attraction de touristes visitant le Rwanda.

L’année 2021 verra le commencement du projet et le début travaux de construction.

La société sera également chargée de la gestion du nouveau parcours de golf qui se situe dans un quartier chic de Nyarutarama  et cette gestion se fera via UGolf Great Lakes Ltd, une filiale d’UGolf actuellement contrôlée par le Groupe Duval. 

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French Company “Groupe Duval” sets to construct an Environmental Friendly Commercial building Near Kigali Convention Centre

On Tuesday, the Office of the Rwandan President announced that President Kagame had received the CEO of Group Duval, Eric Duval, and his team, to discuss the projects the company plans to launch in Rwanda soon.

Groupe Duval is a French-based company, founded in 1996 by Eric Duval but managed by Pauline Duval. It has more than 4,000 employees and over the past 25 years, it has raised more than $ 700 million from construction investment.

In Rwanda its activities will be managed by a company called Duval Great Lakes Ltd headed by Vicky Murabukirwa.

Groupe Duval has invested in construction projects, hospitality, food processing and more.

Among the projects Duval Great Lakes Ltd plans for Rwanda include one of the most unique to construct a commercial building in Kimihurura next to the Kigali Convention Center, TOP Africa news has learnt from IGIHE.COM.

The modern commercial building will be constructed in a way that is environmentally friendly. It will also include the French Hotel Company, Odalys City Business Apart Hotel.

Named “INZOVU”, the building will feature a variety of business activities, games, entertainment, restaurants and more.

It is also expected to be a bridge to increase the number of tourists visiting Rwanda.

This year is expected to be the start of the project, where construction work will be fast-tracked.

The company is also set to take over the management of the new Golf Course through UGolf Great Lakes Ltd, a subsidiary of UGolf which is currently controlled by Groupe Duval.

Read the original story here:

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Rwanda says ready to triple its international trade in 10 years as AfCFTA Starts

Minister of Trade and Industry of Rwanda Ms. Soraya Hakuziyaremye

By Ange de la Victoire DUSABEMUNGU

Minister of Trade and Industry of Rwanda Ms. Soraya Hakuziyaremye has said Rwanda is ready to export goods to the wider African market adding that no one should worry that some of the countries with the largest economies on the continent will give less value to the market.

Minister Hakuziyaremye made the remarks while answering questions from reporters at the AfCFTA Start of Trading Virtual Launch event which was organised by the Rwanda’s Ministry of Trade on Friday, 15th January 2021.

The African Continental Free Trade Area (AfCFTA) is a free trade area founded in 2018, with trade commencing as of 1 January 2021.

 It was created by the African Continental Free Trade Agreement among 54 of the 55 African Union nations

Minister Hakuziyaremye said Rwanda is ready to compete on this market

Rwanda’s economic policy is open to foreign trade which accounts for 51.5% of the GDP (World Bank, 2018). … In 2018, merchandise imports from Rwanda reached USD 2.58 billion, while exports amounted to USD 1.1 billion. The country exported services worth USD 798 million and imported USD 931 million (WTO, 2018).

Regarding the exemption of taxes on traders who will be importing goods, Hakuziyaremye explained that “80% of the goods made in Africa will be the first to be exempted from taxes.”

“In our country, it is a process that will take 10 years to get rid of 10% of the tax to 0% of the tax,” she said.

She added that in Rwanda, agriculture, agribusiness and clothing products are some of the commodities that the country is ready to take to the market.

She encouraged ordinary people as well as the Private Sector to take part in taking the benefits from this big market.

“We, as Rwandans, find that in the next 10 years, we will have tripled our trade with foreign countries,” she said.

She reassured those concerned about major economies such as South Africa and Nigeria that they would belittle the market saying that there should be no worries because in general all countries are willing to join this market.

“It’s not an easy journey because even during the negotiations there have been shown that there is a lot to be done to set up this trade area “She explains

“but again, these great economies have their own business needs in this market,” Minister Hakuziyaremye added.

Regarding the free movement of people, Minister Hakuziyaremye said that this would also be facilitated as people would be able to trade and travel more easily under the AfCFTA agreement.

The fact that Rwanda has entered the wider market, it means that joining the market is not meant for Government as an institution rather a trade member with the people who might start thinking broadly, especially those who do business even at the local level.

Victor Nkindi, one of the Rwandans who have gained experience in International business through Hooza Media Company, says that this is a time for Rwandans to think broadly.

“Now, boarders are opening to allow more shipment at lower cost” He said.

“By start with regional integration, Tanzania, DRC or Kenya are great countries to start business with” Mr. Victor Nkindi commented

“Let us be bold and look after opportunities the continent is offering” He advised.

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2G, 3G, 4G Networks continue to play an important role in the safety of Rwandans during COVID 19 pandemic Time

2G, 3G, 4G Networks continue to play an important role in the rise of Rwanda’s Economic growth while during the COVID 19 pandemic time, the use of above-mentioned networks has undoubtedly contributed to the reduction of the spread of the Coronavirus epidemic, TOP AFRICA NEWS reports

Rwandan President Paul Kagame on Monday, 21 December 2020 during a State of the Nation address announced that 4G Network has now reached 127 locations across the country.

With the modern 4G Network, it is considered to be a technology that signals a shift from voice- to the data-based transmission with high-speed in time for the onset of smartphone era and the next step forward in Rwanda.

In November 2019, Korea Telecom Rwanda Networks (KTRN) commenced the process of a network upgrade and optimization that included software and hardware upgrade along with coverage expansion in order to meet Quality of Service (QoS) demands from its customers and fill the coverage gaps experienced.

In a bid to deliver on its promise for a reliable and quality nationwide 4G network, KTRN invested more than USD 10 million in this network and system upgrade exercise and this has yielded instant good results in improving user experience on the 4G network.

“As a result of 4 G network and system upgrade, currently, KTRN possesses a more reliable network infrastructure that matches the rate of growth, meets 4G Internet demands, and increases performance to 4G full speed.” According to information retrieved from KTRN website.

With the recent upgrade and coverage expansion countrywide, KTRN is still the first telecom company in Rwanda to provide the largest network coverage with more than 98% of the population coverage.

KTRN’s wide population coverage offers a huge opportunity to private companies, public institutions, and NGOs to expand their reach in the entire country, on a reliable and fast network.

The upgrade coincided with the novel COVID-19 global epidemic that saw the world shut down, but as the world was shutting down, the internet became an even more necessary essential needed at home as work and schools relocated to homes.

However, Rwandans find that there are still a lot to be done to get connected to the fastest Internet Networks as the modern communications speed increases.

This is in addition to the high cost of Internet such as 4 G based on the capacity of those who want a fast-growing network among them are predominantly young people who are very fond of knowing what is happening around the world.

President Paul Kagame presented the State of the Nation on 21st December 2020

Although President Kagame did not comment much on the 4G Network during the State of the Nation address on Monday, 21 December 2020 in Kigali, he pointed out that telecommunications technology had supported Rwanda during the COVID 19 time and this is confirmed by the way he successfully conducted an interactive session with citizens in different rural and urban areas across the country.

President Kagame said “Due to the COVID-19 situation and the need to keep people safe, I was unfortunately unable to meet physically with many of you at the annual National Umushyikirano Council and the RPF Congress this year.”

However, President Kagame added “Thanks to technology, we were able to have a virtual interaction this afternoon with citizens across the country and the press. It was an opportunity to highlight important issues to thank all Rwandans for your dedication and resilience in tackling domestic and global challenges”

ICT experts believe that the development of Internet communications in Rwanda, despite the high cost for some, has made a significant contribution to the safety of the citizens during the pandemic time.

It is clear that if the deployment of Networks such as 4G is successfully and wisely used, much benefits are set to arise.

For instance, Jacques Kabandana, Country Manager at Ericsson Rwanda which is heavily involved in deploying other technologies such as 2G and 3G with its partners namely MTN Rwanda and Airtel Rwanda, finds that in this hardship times of Covid19 pandemic, it is imperative to make use of the technologies available in Rwanda whether it is 2G, 3G or 4G.

“By doing so, it will certainly help bridge the digital divide that we are all seeing. That would mean, more and more Rwandans will have access to Internet as a basic need but the latter are just infrastructure such as roads, electricity, etc…. I would call it the first step.” He explains

“The second step will now be to stem use cases that will actually make an impact to our lives. He we think about 4G use case in agriculture sector where the technology will help you determine the amount of water needed for farming, etc… in the health sector whereby you can do an e-consultation, etc…” Kabandana noted

“The use cases are even beyond our imagination.” He added.

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